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Bonjour, je suis une femme de 44 ans et en passe de me séparer de mon conjoint. Ce qui m’inquiète aujourd’hui, au delà de la peine immense que m’a causé cette histoire, c’est la façon dont il compte lui se séparer de moi, car pour parler crûment, j’ai peur qu’il finisse pas s’en prendre physiquement à moi.
Je l’ai connu il y a 25 ans, enfant puis retrouvé par un site d’anciens, ont s’est vu, coup de foudre que j’ai cru réciproque. Il était libre, moi aussi, le seul obstacle a été que je change de région, de boulot et que je quitte tout pour lui, ce que j’ai fait. Surement la plus grosse erreur de ma vie, même si je ne renie pas les côtés positifs et les moments de bonheur même si en comparaison des moments de merde, le compte est très loin d’y être.
J’ai lu attentivement votre blog et surtout le portrait des personnes atteintes de paranoïa puis celui de la jeune femme qui parle de ses parents bipolaires et franchement on est pile dedans.
Je ne suis pas psy, loin de moi la psy de comptoir mais je suis une personne équilibrée, tolérante,( très, trop, beaucoup trop) et je pense que je suis à même de voir qu’une personne n’est pas cohérente, qu’elle délire totalement même.
Avec du recul et maintenant que j’ai compris que je ne tirerais rien de bénéfique de cette relation, je me résous à y mettre un terme ( même si çà me déchire le cœur et que j’ai peur pour lui tellement il peut être irrationnel ) car je vois à quel degré sa haine de moi est arrivée et que je crains qu’il ne s’en prenne à moi physiquement.
J’ai commencé à parler autour de moi de son attitude, (et encore je suis demeurée dans les aspects les plus soft) et tout le monde m’a dit que rien n’était normal là-dedans. Je ne sais même pas comment j’ai pu me laisser marcher dessus, nier à ce point ma propre personne, mon propre bien-être. Je veux qu’il disparaisse de ma vie car c’est bon pour moi, car il est néfaste pour moi.
Il est néfaste pour lui-même mais je ne suis pas la personne qui peut lui venir en aide, je ne suis même pas sûre que quiconque, y compris lui-même, puisse lui venir en aide.
Il est en plein délire depuis des mois, des années même, tout le monde complote contre lui, je vais l’attaquer en justice moi aussi ( c’est pourtant lui le procédurier obsessionnel) je vais le spolier ( sur ce point, il projette aussi).
Franchement si je m’écoutais en faisant abstraction de tout sentiment, du passé, des moments de vrai bonheur que j’ai vécu à ses côtés, je ferai payer cette ordure pour les abus qu’il m’a fait subir, il m’a volé, escroqué, menti, trompé, abusé sexuellement, physiquement, psychologiquement, il m’a coupé de ma famille, de mes amis, je ne suis rien à ses yeux, hormis un moyen, un outil, pas un être humain.
Il a de gros problèmes, probablement de l’ordre de la maladie mentale, je n’en sais rien mais je sais que je dois prendre soin de moi aujourd’hui, dans tous les domaines, c’est de ma responsabilité. Lui n’en est pas, plus, et n’aurait jamais dû l’être. C’est terminé.
Les troubles psys sont une horreur à vivre, surement pour les malades, mais aussi pour leurs proches. Je m’estime chanceuse de pouvoir arrêter cette relation même si çà doit s’arrêter dans le chaos, même si je mettrais surement des années à m’en remettre, même si j’en garderais des séquelles toute ma vie.
Lui ne fait que recommencer la même histoire, seuls les personnages sont différents, le scénario en revanche est immuable. J’en suis très triste pour lui mais je dois sauver ma vie. Voilà, merci de m’avoir permis de parler un peu.
gecka a dit:
« C’est terminé. Les troubles psys sont une horreur à vivre, surement pour les malades, mais aussi pour leurs proches. »
Oui c’est très vrai, mais malheureusement l’accompagnement des « familles » est très limité, ce qui est totalement anormal.
Je suppose que la page est plus simple à tourner sans enfant(s), bien que cela soit extrêmement violent. Avec un enfant au milieu, très petit de surcroît, je crains de garder le rôle de la « persécurtrice qui mérite tous les châtiments » à ses yeux toute ma vie… et nous aussi nous étions connus enfants et retrouvés adultes… étrange.
Bien du courage, n’hésitez pas à revenir pour partager ce qui vous tient à coeur.
Merci pour ce témoignage poignant.
cecilie a dit:
Vous supposez que c’est plus simple sans enfant au milieu, je ne sais pas, j’ai renoncé à la maternité en raison du comportement de mon conjoint. J’ai fait un choix cornélien à 37 ans alors que c’était ma première et unique grossesse. Je ne vais pas vous dire ce que j’ai dû gérer en plus de çà de la part de mon conjoint. Je ne sais pas ce qui était le pire, la dépression dans laquelle j’ai plongé après l’ivg ou les remarques » humoristiques » de sa part sur ce sujet. Il n’y a pas de mot…Enfin, je n’ai pas de regret là-dessus, je pense que je n’aurai pas fait un cadeau à cet enfant s’il avait existé. J’ai toujours intimement été persuadée qu’en cas de coup dur je ne pourrais jamais compter sur lui, l’avenir m’a hélas donné raison, l’an dernier j’ai dû gérer seule l’annonce d’une tumeur et les soins qui ont suivi. Il s’est cette fois abstenu des sarcasmes et autres traits « d’humour » car j’ai réagi très violemment. Je ne me laisse d’ailleurs plus malmenée depuis lors.
Je n’ai pas envie de devenir une personne aigrie ou violente en réponse à des comportements qui sont insoignables. Mon conjoint est parfaitement conscient qu’il fait souffrir ses proches. Qu’il ne puisse ou ne sache pas comment faire autrement je puis le comprendre mais je refuse de lui trouver cette excuse. Quand il me maltraite, je le lui fais savoir et je lui fais savoir qu’il doit cesser et qui’l y a des conséquences à ses actes. Je pense que lui montrer les limites ne peut pas lui être néfaste même s’il n’est peut être pas en mesure d’y remédier. La maladie ou les troubles n’autorisent pas la maltraitance ou les délits hormis dans les cas rares dont il n’est pas. Il est très cartésien dans beaucoup de ses choix, en matière d’argent, il n’est pas gêné de dépenser à tout va, hormis quand il s’agit de ses propres deniers pour ne donner qu’un exemple.
cecilie a dit:
Pour en finir avec ce témoignage, en quelques jours mon cher co-border, fâché que je réalise qu’il me vidait l’appartement en loucedé et que j’ose lui demander des comptes a pris un énième coupe de sang il y a quelques jours, et vider ses affaires et nos affaires communes pour certaines d’ailleurs un soir. La grande scène du III, avec affaires devant la porte, cris et menaces. J’ai lâché l’affaire devant tant d’incohérences. Ras le bol. Le lendemain matin et vu qu’il n’a pas dû fermer l’œil et ruminer ses délires all night, il était encore en rage le matin. J’ai tenu jusqu’à l’heure de partir bosser mais devant les menaces de mort et autres joyeusetés, j’ai pris mes papiers importants et je suis partie en lui signalant que les limites étaient passées et que je ne remettrai pas les pieds chez moi tant que je n’y serai pas en sécurité, à savoir tant qu’il y serait et que j’allai signaler l’incident aux flics. Je ne sais pas si c’est la perspective de la GAV qui a des vertus apaisantes mais il s’est bien calmé, j’ai prévenu mes proches, mon avocat et mon notaire. Là c’est bon j’ai ma dose, je n’ai aucune envie de jouer dans un épisode de » faites entrer l’accusé » à fortiori si je ne peux même pas le voir.
Bref, il m’a inondé d’appels, me demandant de rentrer, me disant qu’il s’excusait et ne me menacerait plus ( une première en 8 ans ). En rentrant, il avait dû encore être pris dans ses délires dans l’intervalle car » je l’avais forcé à déménager en 3 heures sous la pluie » . Infinie capacité à réécrire l’histoire et à inverser les rôles.
Bref après deux jours à tenter de lui faire entendre que malgré tout j’ai encore des sentiments pour lui et qu’il se consentais à consulter, je seras toujours là pour l’épauler. Il m’a dit : « que c’était terminé entre nous de façon définitive car je l’avais rendu malheureux pendant toute la relation » . 10 minutes plus tard : que c’était » un break temporaire et salutaire pour nous deux » 10 minutes plus tard encore » qu’il avait menti et qu’il n’avait pas été malheureux tout le temps au contraire » bref comme un poisson rouge, ses pensées ne dépassent le quart d’heure de vie.
Après avoir encaissé tout çà et être passée par toutes les phases pendant deux jours, j’ai finalement ressenti un soulagement intense , ( même si j’ai beaucoup ressenti le chagrin que notre histoire s’arrête) , à entrevoir du CALME.
Evidemment, il a déménagé ses affaires mais mange et dort chez moi depuis lors.
Je pense que le fait de me voir soulagée et accepter sa décision sans le supplier de rester et de me reprendre doit finalement le prendre de cours.
J’ai atteint ma limite ultime ces deux derniers jours et je n’en veut plus, la coupe est pleine. Un poids s’est enlevé de mes épaules. F.I.N.I.
gecka a dit:
Bonjour, en effet cette « capacité » à changer de sentiment, de ressenti d’une minute à l’autre pour ainsi dire est extrêmement perturbante quand on est quelqu’un de stable émotionnellement. Sur la fin, j’ai eu droit à des sentiments extrêmes, passant du « tu me persécutes, tu m’as forcé depuis le début, c’est terminé » et « je t’aimerai toujours quoiqu’il arrive ». Ca me fait encore horriblement mal aujourd’hui…
cecilie a dit:
désolée pour les fautes de frappe…
cecilie a dit:
Je reviens régulièrement lire les billets de ce blog, je ne sais pas pourquoi après tout je devrais être bienheureuse de ne plus être plongée dans tout çà mais ma nature c’est que je cherche toujours à comprendre les évènements au risque de les voir tourner en boucle et me pourrir l’esprit si je ne le fais pas.
J’ai lu les différents témoignages de proches et de malades. Surtout de malades car faute de paroles cohérentes ou sincères de la part de mon ex je n’ai pas tellement de possibilité de connaitre l’état d’esprit de ces personnes.
Je trouve tout de même, et c’est surement aussi parce que je suis encore dans la colère ( et j’avoue que je n’ai pas envie d’en sortir pour le moment ), que c’est bien simple de s’abriter derrière une » maladie » pour justifier des comportements d’enfoirés finis. Le couplet, j’ai trop mal et comme je ne sais pas gérer mon conjoint alors je déverse toute ma haine sur lui et lui pourrit la vie.
Mon conjoint a très bien su mettre son problème en sourdine quand on s’est rencontré et au début de la relation. Je vous l’accorde çà n’a pas durer bien longtemps la lune de miel mais il sait parfaitement manœuvrer pour amener les gens là ou il le veut. Il m’a dit textuellement que toutes ses histoires finissaient de la même façon. Et donc ? change-t-il ? bien sûr que non et franchement à sa place je ne changerai rien non plus. Durant les 8 années de notre vie commune, il n’a pas bossé pendant 6 années, il ne faisait rien, strictement rien qui ne soit pas exclusivement dans son intérêt. La fainéantise vous me direz çà arrive à plein de gens. Certes mais avec ses 1.000 euros par mois il a réussi à ne rien payer pour pouvoir s’acheter un appartement, des meubles, faire des travaux et se barrer en me faisant porter la responsabilité de tout.
Un irresponsable intégral. un menteur pathologique et un manipulateur hors pair.
D’une malhonnêteté hallucinante. Je ressens aujourd’hui un profond dégoût vis à vis de lui. Lui ne voit pas où est le problème, pour lui en me laissant l’appartement et tout ce qu’il y a dedans, il fait » un geste d’amour et de générosité » . Sauf que cet appartement c’est moi qui le paye seule depuis toujours, il ne m’a RIEN donné, j’ai tout payé et , j’ai fait les comptes une fois comme çà pour » rire » avant d’aller chez le notaire : les meubles ( qu’il a choisi seul ) je les ai remboursé au centime près, pile à la date à laquelle il s’est tiré en me laissant avec amour et générosité remboursé 25.000 € d’emprunt bancaire à sa place.
Le notaire m’a encouragé, devant lui, à porter plainte pour escroquerie et s’est fendu d’un sermon à son endroit. Croyez vous que l’autre était gêné…Pff non c’était moi la méchante, la vénale, la salope, qui met un pauvre chômeur à la porte.
Alors » malade » j’ai un gros gros doute, véritable escroc sans scrupule qui vendrait sa propre mère pour de l’argent là par contre je n’ai aucun doute.
Je ne crois plus à tout çà. Soit on a une construction mentale saine et on vit au sein de la société le mieux qu’on peut, en prenant les chemins de l’honnêteté ou de la malhonnêteté ( et dans ce cas on assume les retombées éventuelles) soit on est un malade et on est irresponsable et là OK on a une sorte d’excuse.
L’entre deux, je n’y crois pas, quand on fait tant de dégâts sur la vie des proches et qu’on sait qu’on en fait, on fait en sorte de ne plus vivre avec quelqu’un. Personnellement je ne vois pas quelle genre de responsabilité pouvait bien peser sur mon conjoint me concernant, il n’en n’a jamais pris aucune.
Quand je suis tombée enceinte c’était trop de pression, quand j’ai avorté, c’était trop de pression, quand j’ai eu une mauvaise masse a enlever dans le sein c’était tellement de pression pour lui qu’il était en train de skier pendant que je passais sur le billard.
En revanche, baiser sa pouf et la faire emménager à 800 m de chez nous, s’acheter un appartement, cacher les clefs dans sa voiture et frauder le fisc , c’est gérable comme pression. Il est très cartésien quand il le veut et que çà le sert.
Bipolaire, c’est surement une maladie, mais c’est aussi un bel alibi pour beaucoup de salopards sans scrupule. La maladie, l’enfance malheureuse, les échecs divers et variés de la vie çà touche tout le monde. J’ai découvert à cette occasion que beaucoup de gens ont des soucis, sont suivis, soignés, sous médication pour des pbs psys divers et variés. C’est une chose que je n’avais jamais côtoyé avant et que je ne compte plus côtoyer à l’avenir. Je vais refaire ma vie, rencontrer surement d’autres personnes car c’est ma vision de la vie mais plus jamais je ne me laisserai embarquer avec une personne malade. C’est très injuste pour ceux qui sont atteints et qui n’en sont pas responsables mais je refuse catégoriquement de revivre ce que j’ai vécu. Plus jamais !
gecka a dit:
Comme ça me parle Cécilie !
Je me fais les mêmes remarques. La maladie a bon dos, tiens d’ailleurs je vais écrire un article là-dessus. En ce qui me concerne, il n’a rien foutu non plus pendant toute ma grossesse (je suis tombée enceinte au bout de 6 mois de relation, et seulement 3 mois de vie commune), à part péter des plombs et se barrer chez ses parents pour pleurnicher (car j’étais méchante avec lui le pauvre), et nous faire vivre un enfer à ma fille et à moi. Puis lorsqu’il s’est trouvé un CDI et que j’ai arrêté de bosser (à mon compte, plus de clients, pas de chomage…), il a attendu LE PIRE moment pour se barrer, à savoir quand mon bébé avait 6 mois et que je n’avais RIEN POUR VIVRE. Non content de me mettre dans une merde innommable (loyer de 800 euros pour commencer), il a tout fait pour me nuire davantage (lettres de préavis au proprio, à la CAF pour dire que je fraudais…).
Lorsqu’il a vu que cela ne marchait pas comme il l’aurait voulu j’ai eu droit au harcèlement pérpétuel avec scènes de violence, lettres recommandées (lui qui ne s’occupait jamais d’aucun papier administratif…), emails tous les jours, textos. Puis des plaintes en tous genres (m’accusant de violence, de séquestration etc). Les enfants et moi avons vécu L’ENFER. J’ai bien cru que je ne survivrai pas. La justice a du s’en méler et aujourd’hui il ne peut voir notre bébé que supervisé par des pédopsys dans un centre. Mais je continue à avoir peur, très peur, de ce fou furieux.
Il s’est trouvé une femme (la première venue, sur un site de rencontre), particulièrement laide et bête. Elle m’a vue pleurer, avoir peur, mais non, elle a tout de même continué à l’accompagner (car il n’a pas le permis…) pour venir nous harceler et prendre le bébé de force. Elle est même venue me filmer à ma fenêtre, car il fallait « rassembler des preuvres de mon refus de laisser le bébé » ! La juge a halluciné quand elle a appris tout ça.
Cette pauvre fille qu’il a trouvé a l’air d’un toutou à son service, et j’ai pitié pour elle. Elle pense ENFIN avoir trouvé l’amour, quand elle a trouvé un type sans foi ni loi. Il se sert d’elle et de sa situation. Pas plus tard que récemment, où il a choisi de faire venir l’enquêteur social chez cette pauvre fille, en prétendant qu’il était en couple. Il la désigne comme « compagne officielle »… elle va tomber de haut, elle aussi. Car rien ne l’arrête. Nous étions une famille, il voulait m’épouser, venait de terminer les travaux dans la maison avec son père, et même un potager (que j’ai récolté seule). Il n’a aucun, aucun scrupule, et le pire, c’est que sa famille le suit dans son délire. Ils n’ont AUCUNE pensée pour les enfants et moi dans ce marasme. Ils me dégoutent tous.
Je suis très triste pour mon fils qu’il ait une famille pareille (dont une grand mère bipolaire, elle aussi).
Je suis déterminée à passer une année 2016 bien meilleure (pas dur à faire), et à me trouver un homme digne de ce nom qui j’espère me redonnera confiance en les gens et la vie.
Cecilie a dit:
Contrairement à vous, je crois que sa famille s’est fait sa religion sur lui. Sa propre mère m’a fait passer des messages que je n’ai pas toujours saisi sur l’instant mais au moins à sa façon elle m’a soutenue. Sa maîtresse en revanche m’a envoyé des messages, c’est d’ailleurs comme ça que j’ai su son nom et que j’ai vu à quel point il manipulait cette pauvre fille. Ce lâche l’a utilisé comme une marionnette, comme certains amis pour me nuire et toujours me contrôler. C’est obsessionnel cette volonté de me contrôler. Nous sommes séparés effectivement depuis un mois ( encore que notre couple est mort depuis des années s’il a jamais été réel ) et bien depuis il n’a rien changé à ses habitudes, il m’appelle tous les jours, plusieurs fois par jour et m’a envoyé environ 200 SMS rien que cette semaine. Nous n’avons pas d’enfant et croyez moi je bénis le ciel tous les jours pour ça et je neveux de ce malade dans ma vie. Rien que parler de lui : me fait vomir . il est parti dans sa famille pour Noël et j’ai du inventer une visite de ma famille pour qu’il n’appelle pas. Il s’est contenté de textos. J’espère qu’il a une greluche en vue au moins il me lâchera la grappe tant qu’elle tiendra le coup. Mais je sais bien qu’il me fera chier tant que je n’aurai pas quelqu’un dans ma vie et encore je n’en suis même pas certaine. Je ne peux plus. Le supporter physiquement. Tout mon corps le rejette, c’est hallucinant. Je crois que si on me faisait chousir entre un chèque d’un million d’euros pour me remettre avec lui ou un lavement à la harissa je pilerai moi-meme un supplément de piment. 🙂
gecka a dit:
Je pensais pareil pour la greluche… mais jamais j’aurais imaginé qu’il se trouve une femme aussi horrible, et qu’il s’en serve CONTRE moi !
Non, vraiment, son machiavélisme et sa perversité sont sans limites (je n’ai pas pu tout dire ici, mais ça va très, très loin).